samedi 12 octobre 2013

Film de 1999

La toune de Kiss Me commence pis la nerd va descendre les marches, sortir de la salle de bain avec un look normal amélioré... Je sais pas trop quoi dire, la toune est de plus en plus forte, la fille a descends pas les marches, méchant suspense, Freddie Prince Junior fait ça face de BEN LÀ, pis j'ai pesé sur paus pour analyser à chaud parce qu'au fond, ça c'est pas le climax de l'histoire mais bien le summum du ridicule.

Je peux pas croire que j'ai bercé mon adolescence autour de film aussi ridicule.

En gros, faut adhérer au fait qu'il n'y a qu'UN gars beau dans toute l'école. Donc, toutes les filles ont la même conception de la beauté et il est le seul être désirable de la place. Puis, y a une fille tellement bitch que ça se peut, pis tu la voies jouer, pis tu te dis, ça se peut pas, à chaque phrase, à chaque move tu te dis NON tu vieux de péter la balloune du suspension of disbelief inhérent à toute fiction, en plus est en pleine phase de bitch-denial - i'm not a bitch but - anyway, c'est ben, ben lourd, ELLE A TOUT POUR ELLE, 13 ans plus tard. Surtout quand le "beau" freddie prince ( quel nom de marde) va voir un show d'art performatif qui ridiculise complètement le genre jusqu'à ce que le "beau" FPJ se retrouve à devoir monter sur scène - wtf - et ainsi nous révèle sa vulnérabilité en jouant au yaki - damn- parce que monsieur veut exprimer la pression sociale verbalement tout en imageant le tout d'un yaki toujours sur le point de chuter - tabarcriss que c'est quétaine - ben c'est ça, je spoiled pas la fin parce que je risque de pas l'écouter.

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