dimanche 24 novembre 2013

Je pensais que c'était fini.

Mercredi, en taxi vers chez toi, fièvre et maladie persistante après le concert. En taxi vers chez toi après que tu m'aies raccompagner à ma porte, même si tu tremblais à chaque pas, pauvre enfant.

Jeudi, je te textes ma nouvelle bonne nouvelle mais tu réponds pas. Comme lundi pis mardi pis mercredi, pis sérieux, ça gosse vraiment. Tu peux pas juste te pointer chez nous comme mercredi pis dire on y va, je susi une fille qui planifie qui prépare qui pense trop pis pour ça, ça prend du temps.

Samedi, c'était la fête à ton meilleur ami pis j'étais invité pis j'étais pas mal énervé, j'avais jamais rencontré ton monde, je me sentais tout à coup officielle. Pas de sms, pas de whatsapp, pas rien, pas de toi qui vient sonné, je me suis dit, ça y est, c'est fini, il veut plus me voir pis il a pas les couilles de mettre des mots sur cette rupture, il va faire comme celui qui m'a accompagné au bal de secondaire 5, le con qui était pas trop heureux que je partes à Winnipeg tout l'été, celui qui a accepté de venir manger chez mes parents sans jamais donner de suite, je l'ai attendu tout l'après-midi, puis toute la semaine, puis moi pis mon orgueuil on s'est dit NENON, pas vrai que je vais appellé un tata qui me tchoke, ben je me sentais pareil hier vieux rat. Mais c'était pas ça. Soudainement, à 2hrs du mat, c'était pas ça! C'était la fièvre, la voix extindue, la grosse grippe d'homme qui te clouait au lit, là où tes sms bogguait, ce que je ne comprends pas vrm.

J'aimerais ça dire, ben non pas grave. Mais tu me manques. Dans trois jours la grèce, dans trois semaines plus rien qui me retient en espagne, je pensais que tu serais une bonne raison mais t'arrêtes pas de me montrer que je me trompe.

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