Le matin se lève, lui y part, moi je me rendors, jusqu'à au moins 10h. Je me réveille racquée comme si je m'étais battue dans rue toute la nuit - il n'en est rien. Moment fort de la matinée: ma veille bécane blanche de marque MacBook a tenté un saut en bungee pas d'élastique, je l'avait déposé sur la table de chevet pis fuck, l'écran fracasse le tapis dans la seconde qui suit. C'est pas de ma faute, c'est parce que la musique à bouche était sur la table de chevet à mon insu. N'empêche qu'à matin, on a pas frencher.
D'habitude, j'ai le droit à un bisou post-douche. Une bouche froide qui dérange le confort douillet de la chaleur à l'aurore, vers 8h. Peut-être que je bavait dans mon sommeil ou je criait le nom de mon ex. Bref, il est parti pas de becs.
J'ai mangé du saumon fumé avec de la creamy cream philadelphia - placement de produit - pis j'ai pas faim mais faut pareil que je fasse le souper parce qu'il a une vie normal. Fuck les journées 9@5. Je suis seule et je cogite. Je procrastine un peu, je pratique ma toune au ukulélé pis je me condamne à être à l'aise avec moi-même mais ça marche semi. Il va finir par rentrer tard parce qu'à soir, c'est son cour de français. Peut-être qu'on va frencher mais d,habitude non, pas quand il arrive parce qu'il est fatigué pis y a toujours pas compris que mes bisous lui donne de l'énergie en Kjoules mais bon, je survis.
L'été montréalais est-il chaud? Je me fais chier avec l'hiver austral! J'ai envie de rentrer, mais non. Va-t-il y a voir une grève ou des cours à la prochaine session? Devrais-je partir ou rester? J'attends toujours une illumination divine... Dieu?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire