jeudi 8 septembre 2011

AAAAAAAAAH!

Je tremble. Peut-être comme toi, la veille d'un gros contrat. Et tout ce qui me ferait du bien, c'est de dormir dans des bras rassurants, une main dans mes cheveux et cette bouche à mon oreille qui murmure chut chut ça va bien aller.

Mais ça n'arrive pas. Pas ce soir, en tout cas. Il me reste un jujube au melon d'eau sucré, le sac m'a divertit, les chips aussi. Mais ça sert à rien, mis à part un pic de glycémie pour renflouer mon anxiété. C'est ridicule, je devrais pas avoir peur pour rien, moi qui fonce et tente le tout pour le tout dès que j'en ai la chance... Mais voilà que la chance me tombe dessus et je perds mes moyens, j'ai l'impression que ça rime à rien.

Si Constance était ici, elle m'obligerait à finir au plus vite pour qu'on sorte frencher. Mais est pas là. Pis je sors pas frencher tu seule. Je me suis donner minuit comme deadline. Je sais pas, je sais plus, c'est un chaos mental et l'heure qui s'en vient, final countdown, me terrifie.

Si seulement j'arrivais vivre les aléas de la vie moins intensément...

1 commentaire:

  1. Sans cette intensité tu ne vivrais pas ces aléas. Ça vient avec. It's all good. Après coup, on oubli les désagréments.

    (Dommage, y est passé minuit...) ;-)

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