Je me suis posée sur le balcon, histoire de respirer avant de téléphoner. J'ai relu nos vieux textos sans m'apercevoir que je tournais le couteau dans la plaie. C'était la première fois que je lui demandais de "passer" et non de venir me chercher. Il s'en doutait.
Son silence et ses hésitations le trahissaient.
S'il n'a pas deviner tout de suite,
la pile de bas de laine bien pliés sur l'armoire était sans équivoque.
On sait jamais comment commencer.Le début de la fin, c'est intimidant. Ces yeux rougis aussi, c'est intimidant.
Le seul point positif, (si on oublie la liberté qui m'envahit depuis que j'ai arrêté de pleurer) ça aurait pu être de me mettre de nouveau célibataire sur Facebook. Comme un nouveau départ. Mais depuis qu'on se fréquente, j'ai pas eu la chance de changer ce statut...
Juste une porte qui ferme, un verrou qui tourne et un dernier regard à travers la porte vitrée. Un regard triste mais qui ne perd pas cette étincelle enjouée, comme pour me convaincre une dernière fois qu'il comprend et que c'est mieux pour moi.
Ce n'est jamais évident les ruptures peu importe de quel côté tu te trouves.
RépondreSupprimerGosh! Je déteste les ruptures! Même quand je sais que ça s'en allait nulle part.
RépondreSupprimerMoi aussi , pas mal le même scénario pour moi aujourd'hui. L'amour qui finit quand il était pas officiellement commencé c'est toujours comme un paper cut. C'est petit , mais ça fait un mal qui gosse juste assez.
RépondreSupprimerÇ'aura été une courte mais belle histoire.
RépondreSupprimerLes enfants!! hihihihi :D
RépondreSupprimerMa vie amoureuse s'emballe depuis que j'ai quitté l'Homme.
Je me sens si libre, j'allais dire que ça me donne des ailes mais j'ai l'impression de faire de la pub pour Redbull...
C'est la 2e fois que je laisse quelqu'un... La dernière fois I was just not that into it... Ce coût-çi c'est l'inverse... Et c'est encore moi qui quitte.
Hélala