dimanche 9 janvier 2011

Ménage

Il s'imposait que je devais faire un clean-up de ma chambre ce week-end. En fait, c'est pas que je suis sale, c'est que je suis bordélique à souhait. Je vis excessivement bien dans le désordre, et surtout le mien. Par contre, j'ai des rages comme aujourd'hui où j'ai besoin d'un peu d'ordre.

Et voilà, je prends une pause de mon ménage parce que je suis tombé sur mes anciens albums de finissant.

Je dois vous avouer que j'ai toujours aimé me faire traiter comme une princesse, et me faire dire que j'en suis une. Attention, je ne suis pas le genre a crier haut et fort: Je suis une princesse ! comme ces filles qui n'ont pas encore compris que à 20 ans, t'es pu supposé être pré-pubère, mais j'ai toujours cette petite flamme en dedans des moi de mon enfance où j'étais certaine que j'étais une princesse et que mes parents voulaient seulement vivre avec le "petit peuple" même si nous étions de la royauté.

Bref, je suis tombé sur deux messages de deux garçons que je ne côtoyaient pas vraiment, on se croisait dans les partys, on se disait bonjour lorsque l'on se voyait, mais sans plus. Et ce sont les deux messages que j'ai pu recevoir dans toute ma vie, toutes sphères confondues, qui m'ont le plus atteint au coeur. Et puisque je suis gentille, je vous les partage, avec la larme à l'oeil :).

"Salut petite princesse, souviens-toi du temps où l'on était jeune... et regarde nous maintenant. Félicitations."

"La princesse de (insérez ici ma ville natale) trouvera toujours le moyen de faire triompher ce qu'elle trouve juste et beau"

Et ce que je vais sûrement me demander très longtemps, c'est pourquoi ces deux garçons que je connaissais à peine ont-ils tout deux employés le terme princesse pour me décrire.

On dit que les souvenirs, même heureux, rendent toujours un peu triste. Je suis un peu nostalgique aujourd'hui.

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