samedi 20 août 2011

L'art de s'amouracher du conducteur désigné

Fesait pas une minute qu'on avait donner des becs sur la joue des doormans qu'il criait: « C'est pas si long la file, vous allez-voir ça passe vite! » Pas laid ce latino, on se dirige pareil vers le bar d'à côté parce que attendre c'est long tout le temps. Bar où la bière de Constance était pas frette pis où ma pinte de cidre avait pas le droit de se transformer en Black Velvet, un drink qui look comme un pop sicle deux couleurs ( demi-verre de cidre, demi-verre de guinness noir) C'est qu'un gars accoté à proximité me l'a conseillé , je pouvais pas pas essayé! Pis le barmaid a dit non. BLEUH!

De retour à la mecque des pots massons, el'latino du premier paragraphe vient nous voir et jase. Pendant que je mange les cerises et que Constance fait des noeuds avec les queues, je cruise un italien. Le latino m'offre une chaise près de lui, je lui dit peut-être tantôt, concentré sur l'italien. On jase, on se frôle, il passe sa main près de ma hanche puis Constance me glisse à l'oreille qu'il est en couple depuis 8 ans. Je lui lance l'info et l'italien répond, non ça fait 7 ans.

Alors, je m'en éloignes pour me rapprocher du latino/conducteur désigné et je sais pas comment c'est venu sur le sujet mais je lui ai raconté le pas fin qui m'a promit de me texter dans le Maine pis qu'il l'a jamais fait. N'en prenait pas plus pour qu'il me demande mon numéro. 12h32, tuludiiii! Mon iphone s'emballe et il me texte à la minute précise qu'il m'a promis hier.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire