Genre les pages que je lis le plus dans les journaux. Parce que pour moi, c'est ce qui fait le plus de sens. M'en fou des nouvelles (ok, pas tout le temps) Je me fous surtout de l'exactitude des faits. Ça sert à quoi de savoir tout ça à la virgule prêt. Ce que j'aime c'est les points de vue. Avec toute ton background, toi tu captes la situation d'une manière que j'avais pas vu pis en plus, j'aime lire ton approche, comme t'introduis une idée ou simplement comment tu le dis. J'aime Foglia, Tristan de Voir Mtl, Desjardins de Voir Qc, Caron de Voir Saguenay, Josée Blanchette pis Jean Dion du Devoir, j'aime pas Martineau pis l'autre folle des HEC qui bash la culture dans le Journal de montréal.
Je trouve ça abérrant. Parce que son opinion manque de contenu, manque d'arguments convaincants. J'aime me laisser séduire par la tournure d'une phrase, pis j'aime écrire sur ce blogue. Parce que je suis rien qu'"un trou de cul moyen" pour reprendre la formule de Foglia. Pis si y avait un journal des amours classifiées en catégories comme nos nouvelles, je pense que je le lirais même pas. Les nouvelles, c'est redondant, mais pas les chroniques. La manière de percevoir la réalité est unique à chacun.
Dans le fond, j'aimerais ça avoir plus de temps dans ma p'tite vie de folle pour que Les Prets parte du quotidien pour vous offrir ça. Cette affaire là qui me rejoint en terminant le dernier paragraphe, cette manière de voir que j'aurais jamais compris parce que j'ai déjà vécu tel affaire, mais pas de cette manière-là. J'aimerais ça que vous viviez ce que je ressens, pis que je le dises bien.
Je serais porté à dire... mais j'ai pas le temps. Pis criss, du temps c'est de l'argent. Pis pour moins culpabiliser, ma rajouter, non mais faut savoir prendre le temps. Maintenant que c'est dit, je le planifierai pas parce que tsé, je culpabilise pu.
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