vendredi 2 mars 2012

Moi, je frenche qui je veux.

Et quand je veux. Tout est possible.

Moi je crois que Lady Gaga a torche des culs avec sa fondation.
Moi, je lis dans le Devoir (online, je suis pas revenue encore au pays) un article qui me fait sourire de par en-dedans. Ça arrive pas souvent! Normalement, j'aime mieux avoir l'air heureuse pour pas trop déranger, que de foutte le bordel pis soupirer de joie.

Moi, je lis des mots d'espoir, des mots qui me donnent le goût de m'abonner à Nouveau Projet,
des mots qui viennent me chercher de par en-dedans, comme quand j'ai appris l'existence d'Occupy. Je trouve qu'on est beau, la grève pis toute, je trouve le québec encore plus beau de loin.

Même si j'ai tout le temps l'impression que c'est jamais approprié, je trouve que je peux mettre ma nouvelle robe préférée magnifiquement belle. Haters, j'ai plus d'énergie à gaspiller.

Je te déranges/t'es pas d'accord/tu me regardes croche; WHO CARE?
C'est pas facile, je suis pas concise, mais je me répète, sérieusement: WHO CARE?
Be Brave. C'est beau le mot bravour, ça sonne comme velours.
Pis tsé, c'est quoi la priorité si c'est pas toé? (fuck yeah les rimes)

J'aime? J'agis. J'aime pas? À la corbeille! T'es beau? Approches icitte un peu ;D

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