Je sors avec toi, toi qui m'aime gros comme ça pis moi qui sait pas. Moi qui regarde intensément tous les beaux mâles qui passent pendant que tu me masses tendrement les épaules sur l'herbe de l'espace Ford. T'accepteras jamais que je t'aimes à ma manière. J'aurais besoin de t'aimer à temps partiel. De vivre ma jeunesse en même temps, vois-tu? J'ai envie de la folie des débuts sans lendemain, j'ai envie de me réveiller dans le lit d'un étranger pis de me dire FUCK! je suis en retard pis FIRST chu où? J'ai envie de me soûler pis de frencher. Pis... pas avec toi.
Quand t'es parti tantôt, j'ai eu le réflexe de te donner un bec sur la joue. Pis j'ai esquivé. J'ai eu l'air d'une grosse tarte parce que mon amie a remarqué le bec semi-joue, semi-french pis elle a ben compris que j'étais pas à l'aise que tu sois là.
Quand j'y repenses, tu t'es auto-invité. J'avais pas remarqué.
EILLE CHOSE. TU VEUX TROP!! J'ÉTOUFFES.
J'élaborais des théories sur l'amour et le fait que je ne suis peut-être pas fait pour la fidélité.
Je me casse trop le becycle. Je suis pas faite pour t'aimer.
Pis j'ai pas le gutts d'arrêter d'essayer.
Et si la réponse c'était juste que c'est lui, que tu n'aimes pas. c'est pas parce que tu ne l'aimes pas que tu aimeras jamais mon minou.
RépondreSupprimerJe comprends tout à fait. Aussitôt qu'un gars devient plus amoureux que nous on l'est de lui, on dirait qu'il perd son charme... C'est l'fun de savoir qu'on plait, mais qu'on plait à pleins de monde. Pis en profiter...
RépondreSupprimerC'est aussi très libérateur d'être seule. De se cuisiner son souper pis en avoir pour demain parce qu'il aura pas tout manger, de vivre dans son bordel pis de pas ramasser par réflexe au cas où quelqu'un pourrait avoir son opinion sur ma manière de vivre.
RépondreSupprimerJe suis seule, je m'aime.