dimanche 8 mai 2011

Chéri, faut qu'on parle.

iiiish! La phrase que personne ne veut entendre. Ça augure compliquée, hein! Lourd, aussi. Pis tout le monde aime ça simple. C'est juste que dans la vie y a des limites. Certaines "boundaries" qui sont essentiels à être délimiter quand on se respecte. Une bulle a pas péter, question de respect. Et là, je suis rendue là. J'ai tchoaké. 3 fois. Tonight is the night. Après quelques verres d'alcool, une grosse grosse respiration, j'espère que ça va sortir calmement. J'espère surtout qu'il va comprendre. Parce qu'avec les milles théoristes qui m'ont expliquer qu'il y a un gouffre entre ce que quelqu'un dit et ce qui est compris, j'appréhende. J'espère que McLulhan pis Peters seront de mon bord à soir, qu'il m'aideront à trouver les mots. Fuck hein.

C'est juste qu'on oublie vite que la passion des débuts c'est une balloune un peu fragile qui pète quand on s'y attends le moins. C'est énivrant, c'est excitant, tout est parfait jusqu'à ce que POP. Tsé, ce petit bruit que j'aimais tant sur facebook, cette petite bulle de champagne qui éclate à chaque fois que tu me répondais en chat, c'est parti. C'est rendu un bruit laitte. Aussi laitte que comment je me sens maintenant. Expectations. On attends. On attends beaucoup de l'autre, souvent. Sans même le savoir, sans même s'en apercevoir. Puis... Pop.

Ça veut pas dire que la balloune est trouée pis qu'on doit en gonfler une autre, une vieille balloune rafistolée, ça a son charme. C'est juste que je prépare le kit de patch en ce moment, je cherche la colle. J'espère qu'on va pouvoir recoller les morceaux parce que dans ma tête ça va pas. Pis je penses que tu le sais même pas...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire