C'est un dilemme. Ma folle semaine d'énervements nocturnes a fait des petits... L'art de subir les conséquences. Dont M qui me texte, alors que j'ai la tête dans les nuages d'Amsterdam. Fine, je t'ai laissé mon numéro. Même si t'es un peu plus petit. Même si finalement, tu ne me plaît pas tant. J'avais texté Constance lors de son premier feedback: « Eille le petit M veut me revoir! C'est parfait, avec lui pas de danger de m'attacher. » C'était parfait dans le meilleur des mondes parce que Constance avait bien apprécier son coloc, il l'avait reconduit à l'appartement pendant que je batifolais avec M.
Mais là... Là, j'ai passé à autres choses. Je sais pas s'il y aura de l'amour entre moi et Amsterdam, mais je sais bien qu'il n'y aura jamais rien entre M et moi...
Je déteste décevoir, je sais pas dire au revoir et j'ai un texto qui attend une réponse, un texto qui s'informe si c'est toujours ok pour demain... Une situation awkward en attente.
De la vaisselle qui s'accumule, puis des travaux qui avancent.
L'enfance c'était pas compliqué. Papa et maman s'occupait de la vaisselle, de l'amour. Moi, je jouais dehors seulement quand les devoirs étaient fini, la tête aussi libre que le vent.
Pourquoi j'arrive pas à être aussi libre qu'avant?
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